La soupe Cie était donc là. Et ouais. Au CCAM*, dans le lieux que l'on aime pour sa provocation simple à l'expérience. La Soupe sur son "Pourquoi pas"*.
Soupe donc, avec le dbdorcelsoft "Sous le jupon", avec ed&pb - sous LSD certainement - nageant dans le sound painting à tous les étages de François Jeanneau*, avec aa et son (gros, ben ouais) baryton FDH* pour une transe amazonienne ; avec tout ce que cette compagnie espère ouvrir comme nouveaux territoires, comme joueuses tentatives, comme télescopages inespérés.
"L'ouverture de saison", c'est le coin des retrouvailles. Juste de quoi dire hello ! et bye bye ! avec plein de verres du Jura entre les deux ? Au CCAM, c'est particulier. Très. Par plaisir, par singularité, par amitié.
Confronter les idées, les projets et pousser plus loin les croisements d'esthétiques et de disciplines. Il y a dans ce lieu tellement d'univers rigoureux, poussés au bout, de choix focalisés et tenus, de nouveautés technologiques, d'envie et de folie. La chouette aventure des recherches contemporaines et sa cohorte d'inouïs et de réjouissances !
Et ouais. Sans "strats"* !
Alors voilà. "Sous le jupon" en bocal (on parlait d'expérience...) et une db à l'aise comme un poisson des eaux chaudes et bleu d'îles, embarquant des spectateurs toujours sous le charme de la donzelle, oui, mais aussi de cette fine et belle et légère et sensible érotisation des moments.
Une pluie chaude et tropicale coulait le long des corps nus, Kent regarda Jessica dans les yeux, il pris sa main et s'approcha d'elle, l'enlaça, pressa ... (euh...ah ! l'imagination fertilisée par les sens). Bref ! En résumé succinct, un micro climat de plaisir local. Le bocal comme éveil.
Et puis ed, et puis pb, joyeux, ludiques, emballés emballants, en marionnettes musicales, qui du texte délirant, qui de l'orgue en vrille, jouant le jeu, osant l'enjeu de croire comme des enfants heureux à cette musique inattendue (cf vidéo ci dessous, ci des.. ci dess... des... dessous sous sous ci dessous). Même pour ceux qui n'aime pas le principe du sound painting on ne peut qu'assister émerveillé aux sons et à l'histoire de cet unique moment.
Et aa*. Et voilà. Vouais, vouais.
Et la suite ! Et la suite ! Une soirée d'amis aussi. Surtout. En pensant au reste de l'équipe, qui manque, mais qui reste ancrée dans l'histoire transportée.
Et fermeture du Bar. Ah ! Ouaich !
aa
Soupe donc, avec le dbdorcelsoft "Sous le jupon", avec ed&pb - sous LSD certainement - nageant dans le sound painting à tous les étages de François Jeanneau*, avec aa et son (gros, ben ouais) baryton FDH* pour une transe amazonienne ; avec tout ce que cette compagnie espère ouvrir comme nouveaux territoires, comme joueuses tentatives, comme télescopages inespérés.
"L'ouverture de saison", c'est le coin des retrouvailles. Juste de quoi dire hello ! et bye bye ! avec plein de verres du Jura entre les deux ? Au CCAM, c'est particulier. Très. Par plaisir, par singularité, par amitié.
Confronter les idées, les projets et pousser plus loin les croisements d'esthétiques et de disciplines. Il y a dans ce lieu tellement d'univers rigoureux, poussés au bout, de choix focalisés et tenus, de nouveautés technologiques, d'envie et de folie. La chouette aventure des recherches contemporaines et sa cohorte d'inouïs et de réjouissances !
Et ouais. Sans "strats"* !
Une ouverture de saison en forme de fête de l'esprit où le discours de Dominique Repecaud en appel aux indépassables poésies de Michaux* (« Art de l'élan. Ni l'amour n'est primordial, ni la haine, mais l'élan (comme est le jeu de l'enfant dans les vagues et le sable ). L'élan est primordial qui est à la fois appétit, lutte, désir. La musique exprime cet élan... »). Ah ouais !
Alors voilà. "Sous le jupon" en bocal (on parlait d'expérience...) et une db à l'aise comme un poisson des eaux chaudes et bleu d'îles, embarquant des spectateurs toujours sous le charme de la donzelle, oui, mais aussi de cette fine et belle et légère et sensible érotisation des moments.
Une pluie chaude et tropicale coulait le long des corps nus, Kent regarda Jessica dans les yeux, il pris sa main et s'approcha d'elle, l'enlaça, pressa ... (euh...ah ! l'imagination fertilisée par les sens). Bref ! En résumé succinct, un micro climat de plaisir local. Le bocal comme éveil.
Et puis ed, et puis pb, joyeux, ludiques, emballés emballants, en marionnettes musicales, qui du texte délirant, qui de l'orgue en vrille, jouant le jeu, osant l'enjeu de croire comme des enfants heureux à cette musique inattendue (cf vidéo ci dessous, ci des.. ci dess... des... dessous sous sous ci dessous). Même pour ceux qui n'aime pas le principe du sound painting on ne peut qu'assister émerveillé aux sons et à l'histoire de cet unique moment.
Et aa*. Et voilà. Vouais, vouais.
Et la suite ! Et la suite ! Une soirée d'amis aussi. Surtout. En pensant au reste de l'équipe, qui manque, mais qui reste ancrée dans l'histoire transportée.
Et fermeture du Bar. Ah ! Ouaich !
aa
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