"Les Corps Morcelés". Une équipée SOAP débridée et sans limites pour cinq jours d'expédition à la Scène Nationale de Vandoeuvre* (avec Delphine Bardot, pilote, aa musicien, et Marie Cambois danseuse).
Les Corps Morcelés est un projet de recherche fondamental (sans objectif immédiat de spectacle), et d'imaginations libres sur les interactions entre objet marionnettique et les corps (manipulatrice et musicien).
Qui dit recherche dit tentative d'inventer de nouvelles manières de faire, de nouvelles pratiques, d'élargir la connaissance de l'objet et de ses contraintes, du son et de sa physique, du geste et de ses dynamiques abstraites, certes... mais surtout oser déplacer le point de questionnement.
Il s'agit ici d'une étude des liaisons et des frontières. Liaisons entre le manipulateur et l'objet (à quel distance s'autonomise t-il ?), entre l'image projeté et le geste qui la provoque, entre les corps en mouvement et l'espace acoustique, entre le volume et la présence.
Frontières entre l'image voulue et l'abstraction ouverte a tout vent, entre l'intention et la neutralité, entre l'improvisation et l'objectif, entre le corps et l'objet, entre l'équilibre et le déséquilibre (pour le son fait de larsens sensibles aux moindres déplacements mais aussi pour le corps manipulant et contraint).
Pour chacun c'est une ouverture et une fracture. Ouverture vers d'incroyables nouveaux territoires (le geste manipulant comme sujet, le corps objet, l'improvisation) et une fracture (les habitudes, les sédimentations confortables, les savoirs-faire, les sensations, les repères codifiés ). Il s'agit tout bonnement de déboulonner les pourquoi précédents.
La manipulation d'objet entre dans le champs des libertés. Manipuler comme l'on danse, comme l'on met en mouvement, abandonner la projection d'image et laisser venir l'intérieur des choses au bord du visible.
Alors, questions.
Et début de réponse en son.
Les Corps Morcelés est un projet de recherche fondamental (sans objectif immédiat de spectacle), et d'imaginations libres sur les interactions entre objet marionnettique et les corps (manipulatrice et musicien).
Qui dit recherche dit tentative d'inventer de nouvelles manières de faire, de nouvelles pratiques, d'élargir la connaissance de l'objet et de ses contraintes, du son et de sa physique, du geste et de ses dynamiques abstraites, certes... mais surtout oser déplacer le point de questionnement.
Il s'agit ici d'une étude des liaisons et des frontières. Liaisons entre le manipulateur et l'objet (à quel distance s'autonomise t-il ?), entre l'image projeté et le geste qui la provoque, entre les corps en mouvement et l'espace acoustique, entre le volume et la présence.
Frontières entre l'image voulue et l'abstraction ouverte a tout vent, entre l'intention et la neutralité, entre l'improvisation et l'objectif, entre le corps et l'objet, entre l'équilibre et le déséquilibre (pour le son fait de larsens sensibles aux moindres déplacements mais aussi pour le corps manipulant et contraint).
Pour chacun c'est une ouverture et une fracture. Ouverture vers d'incroyables nouveaux territoires (le geste manipulant comme sujet, le corps objet, l'improvisation) et une fracture (les habitudes, les sédimentations confortables, les savoirs-faire, les sensations, les repères codifiés ). Il s'agit tout bonnement de déboulonner les pourquoi précédents.
La manipulation d'objet entre dans le champs des libertés. Manipuler comme l'on danse, comme l'on met en mouvement, abandonner la projection d'image et laisser venir l'intérieur des choses au bord du visible.
Alors, questions.
Et début de réponse en son.
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