Il fait déjà nuit. Un air de musique se faufile entre le MacBook Pro 17' (c'est trivial) et le regard (c'est banal). Il fait décidément bien nuit, mais c'est justement cet état qui met en veille.
Étrangeté de la situation.
Entre les oreilles c'est tout le reste et Fela Kuti -"London Scene" - qui se mettent en tête d'installer le décor. Pas de cinoche. Soirs, une histoire sans solitude. Un temps de coté. Une suspension.
Le temps justement. Légèrement différent. Une autre allure, une déambulation plus posée et les fantaisies grandes ouvertes. C'est l'art des contrastes alors. Dans ces nuits, l'horizon est à inventer. Laisser courir, laisser envahir, jeter un lieu, un mouvement, balancer une idée. Parler de Quoi. Un nettoyage à sec de la pensée. Et encore vannes ouvertes.
Mais toujours surtout puis partout ce contraste, le paradoxe, l'oxymore, le. Une fantaisie de l'immobile, figure pensée en dehors de l'endroit, revers de décor, ombrée de temps recomposé, habité, déshabillé - ah, à ce propos ! La semaine des légèretés érotiques c'est pour bientôt. Le frisson fripon, l'ambiance rosie, c'est pour bientôt, c'est pour demain. Le regard de traviolle, la source des envies dressée en musique et en marionnette.
Voyeur de désir.
00:15
Pas si tard. Un peu en retard sur la nuit qui avance tout de même ! Hop hop hop. Le lendemain simplement soupçonné, pas encore décidé.
Sinon ; du temps au temps.
Et toujours l'anomalie - l'excitation des instants détenus, des secondes, etcetera de vie gagnés. Arrachées ? Boaf. "Tenir le pas gagné", il disait Arthur R. C'est vrai ça. Tenir ce qui va arriver, ce qui est provoqué, tenir le mouvement. Pas si flou le gus. C'est pour bientôt on le redit. Bises bis.
Tenir Arthur R.
Ce Charme ! il prit âme et corps,
Et dispersa tous efforts.
Que comprendre à ma parole ?
Il fait qu'elle fuie et vole !
Un thème de Fela Kuti à l'air. Tout simple. Un corps de foi, une détermination de loi dans l'embellie laissé à la musique, à l'emportement, à la fièvre tranquille. Au bleu. Encore. L'étonnante. Discordance. La force tranquille... le mouvement fécond du déséquilibre. Un swing, un groove, un contre-temps. Cette histoire de temps qui passe, et de nuit, comme dans un champ de pluie, s'immisce dans l'esprit comme un souffle peuplé de vitalité.
Ou. Le scotch du Capitaine Haddock. C'est selon le point de vue.
"Il fait déjà nuit", déjà dit, mais c'est encore, la vérité c'est que, c'est ce thème de Fela Kuti qui chemine, histoire, ce son des mots, chronique d'un futur souvenir.
Edgebe moi. Il dit. "Carry me" je crois. Porte moi.
"Open & Close" il dit aussi. Ah. Reste le dérèglement des sens.
C'eut put être tout autre chose. Aucune importance. Le point d'appui. Question pour le temps.... tout ça, hein, c'est juste pour coucher avec les mots.
Chacun son style.
aa
Étrangeté de la situation.
Entre les oreilles c'est tout le reste et Fela Kuti -"London Scene" - qui se mettent en tête d'installer le décor. Pas de cinoche. Soirs, une histoire sans solitude. Un temps de coté. Une suspension.
Le temps justement. Légèrement différent. Une autre allure, une déambulation plus posée et les fantaisies grandes ouvertes. C'est l'art des contrastes alors. Dans ces nuits, l'horizon est à inventer. Laisser courir, laisser envahir, jeter un lieu, un mouvement, balancer une idée. Parler de Quoi. Un nettoyage à sec de la pensée. Et encore vannes ouvertes.
Mais toujours surtout puis partout ce contraste, le paradoxe, l'oxymore, le. Une fantaisie de l'immobile, figure pensée en dehors de l'endroit, revers de décor, ombrée de temps recomposé, habité, déshabillé - ah, à ce propos ! La semaine des légèretés érotiques c'est pour bientôt. Le frisson fripon, l'ambiance rosie, c'est pour bientôt, c'est pour demain. Le regard de traviolle, la source des envies dressée en musique et en marionnette.
Voyeur de désir.
00:15
Pas si tard. Un peu en retard sur la nuit qui avance tout de même ! Hop hop hop. Le lendemain simplement soupçonné, pas encore décidé.
Sinon ; du temps au temps.
Et toujours l'anomalie - l'excitation des instants détenus, des secondes, etcetera de vie gagnés. Arrachées ? Boaf. "Tenir le pas gagné", il disait Arthur R. C'est vrai ça. Tenir ce qui va arriver, ce qui est provoqué, tenir le mouvement. Pas si flou le gus. C'est pour bientôt on le redit. Bises bis.
Tenir Arthur R.
Ce Charme ! il prit âme et corps,
Et dispersa tous efforts.
Que comprendre à ma parole ?
Il fait qu'elle fuie et vole !
Un thème de Fela Kuti à l'air. Tout simple. Un corps de foi, une détermination de loi dans l'embellie laissé à la musique, à l'emportement, à la fièvre tranquille. Au bleu. Encore. L'étonnante. Discordance. La force tranquille... le mouvement fécond du déséquilibre. Un swing, un groove, un contre-temps. Cette histoire de temps qui passe, et de nuit, comme dans un champ de pluie, s'immisce dans l'esprit comme un souffle peuplé de vitalité.
Ou. Le scotch du Capitaine Haddock. C'est selon le point de vue.
"Il fait déjà nuit", déjà dit, mais c'est encore, la vérité c'est que, c'est ce thème de Fela Kuti qui chemine, histoire, ce son des mots, chronique d'un futur souvenir.
Edgebe moi. Il dit. "Carry me" je crois. Porte moi.
"Open & Close" il dit aussi. Ah. Reste le dérèglement des sens.
C'eut put être tout autre chose. Aucune importance. Le point d'appui. Question pour le temps.... tout ça, hein, c'est juste pour coucher avec les mots.
Chacun son style.
aa
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