Le festival, un festival, outre la plage, les rhums arrangés, le volcan, c'est un moment unique et précieux pour voir les copains, les Cies dont on parle, les nouveautés, la tendance.... les pros (diffuseurs) voient les pros qui voient les pros. Et du public.
Du coup plein pot sur le temps de spectacle disponible dés que l'on peut. Ça permet de se remettre en question, de se faire plaisir, de retrouver les choses qu'on aime et de se sentir vif d'esprit sur ce qui se fait. La justesse est dans le savoir.
Makadam Kannibal (Cie de Rue - que j'avais déjà vu à Chalons avec les Branks, un chouette spectacle mêlant cirque, trash, et vie quotidienne de deux personnages brut de décoffrage).
Alfred Spirli et son 24 Cancan Tatou (avec un film de Charley Bowers et un conteur Créole - Ah ! retrouver Alfred, c'est un plaisir. l'improvisation avec les objets, le sens du silence et du son, la finesse des propositions et le ludisme abstrait de sa musique. Et puis, un spectacle tout en créole où l'on se sent porté par le son des mots et un film N/B dans le registre des Buster Keaton retravaillé de manière subtile par des rajouts de couleurs, de taches de mouvements).
Babel Lune (de Hélène Hoffmann avec Maeva et Marie de la Cie Virevolte - soutenu aussi par Babette, not' Babette - un spectacle où s'embrasse un violoncelle (un beau son tenu et plein et un son au delà de l'instrument) et une trés belle voix lyrique (sacré grain) surfant sur Fauré, Purcell, des marionnettes de papier, des ombres.... un moment de tendresse pour enfant mais finalement pour tous.
Ah Ludor Citrik ! Un clown, un vrai. Un de maintenant. Rentre dedans, potache, tendre entoutloupe et violent, neurasthénique, ambigüe, sournois.... entre Joker et Edwards.
Un spectacle fait de rien, de foutaises, de délires, de sous-entendus etd'emballements déjantés. Super !
Et tout cela au Séchoir, la scène conventionné sis au Piton, sur les hauteurs. Prendre la navette.
Pour le reste : Slips Inside (un duo hilarant, entre clown et mimiques burlesques type "Laurent Gix"), Appris par Corps (sujet de division dans la Cie entre les fou-fan-amoureux et les indécis en passant par les franchements non), l'After (et oui, et oui, comme tout festival.... un underground VIP artistes) et un concert des maîtres du Maloya (formidable complexité rythmique au service de la fête, de l'énergie et du spectacle) !
aa
Du coup plein pot sur le temps de spectacle disponible dés que l'on peut. Ça permet de se remettre en question, de se faire plaisir, de retrouver les choses qu'on aime et de se sentir vif d'esprit sur ce qui se fait. La justesse est dans le savoir.
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Makadam Kannibal (Cie de Rue - que j'avais déjà vu à Chalons avec les Branks, un chouette spectacle mêlant cirque, trash, et vie quotidienne de deux personnages brut de décoffrage).
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Alfred Spirli et son 24 Cancan Tatou (avec un film de Charley Bowers et un conteur Créole - Ah ! retrouver Alfred, c'est un plaisir. l'improvisation avec les objets, le sens du silence et du son, la finesse des propositions et le ludisme abstrait de sa musique. Et puis, un spectacle tout en créole où l'on se sent porté par le son des mots et un film N/B dans le registre des Buster Keaton retravaillé de manière subtile par des rajouts de couleurs, de taches de mouvements).
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Babel Lune (de Hélène Hoffmann avec Maeva et Marie de la Cie Virevolte - soutenu aussi par Babette, not' Babette - un spectacle où s'embrasse un violoncelle (un beau son tenu et plein et un son au delà de l'instrument) et une trés belle voix lyrique (sacré grain) surfant sur Fauré, Purcell, des marionnettes de papier, des ombres.... un moment de tendresse pour enfant mais finalement pour tous.
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Ah Ludor Citrik ! Un clown, un vrai. Un de maintenant. Rentre dedans, potache, tendre entoutloupe et violent, neurasthénique, ambigüe, sournois.... entre Joker et Edwards.
Un spectacle fait de rien, de foutaises, de délires, de sous-entendus etd'emballements déjantés. Super !
Et tout cela au Séchoir, la scène conventionné sis au Piton, sur les hauteurs. Prendre la navette.
Pour le reste : Slips Inside (un duo hilarant, entre clown et mimiques burlesques type "Laurent Gix"), Appris par Corps (sujet de division dans la Cie entre les fou-fan-amoureux et les indécis en passant par les franchements non), l'After (et oui, et oui, comme tout festival.... un underground VIP artistes) et un concert des maîtres du Maloya (formidable complexité rythmique au service de la fête, de l'énergie et du spectacle) !
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