1:17 (38 minutes de musique "inécoutable").
Le pire c'est que l'on peut être certain que pendant ce temps des individus de tout genre se paie une méga soirée moule frite. Sur. Ca c'est dur.
Mais le dbSound avance de nuit. Montage, triturage, réécoute et demain dimanche demain c'est le finish. Plus qu'a proposer au comité central pour écoute, évaluation et peut être exequatur.
Alors oui, ça ne se fait pas, mais ici si. Un extrait de ce qui se machine au clair des ampoules de bureau non mixé de nuit....une partie ludique. Tout n'est bien sur pas dans cette veine. Des parties tendues, des solo hypnotiques au sax, des ostinatos, des chansons, événements dissonants, des explorations de bruits, tout ceci essaie de trouver une place. La difficulté est de fixer des sons dont on ne sait ce qu'ils vont provoquer aux ateliers de delphine et daniel préparant le défilé de Culture et Partage. C'en est aussi le charme. Et puis, ces moments sont des occasions. Une aubaine pour tenter des escalades sonores, des équipées de nouvelle voies. Limiter des éléments de constructions (deux saxophones), limiter le temps (cela évite de réfléchir), s'extraire du quotidien (le local des FDH), oser le solo (construire avant et monter les idées plutôt que de capter des sons et de construire en MAO ; chaque chose joué se tient en soi), etc, etc.... cela parait peu important et pourtant. Il existe finalement pas beaucoup de moments consacrés uniquement à la recherche libre. Les actions sont souvent finalisées, corsetées. Ici que nenni. Aucune partition. Aucun groupe. Aucune mise en scène. Pas de sentiments proposés. Uniquement le plaisir et la soif de fabriquer des temps d'émotions à partir de sons.
La mise en utilité de tout ceci se fera sur le plateau avec les choix pragmatiques des sioupherr starzes db et daniel, mais ce qui s'est passé avant est un temps à soi. ouvert.
aa
extrait
Le pire c'est que l'on peut être certain que pendant ce temps des individus de tout genre se paie une méga soirée moule frite. Sur. Ca c'est dur.
Mais le dbSound avance de nuit. Montage, triturage, réécoute et demain dimanche demain c'est le finish. Plus qu'a proposer au comité central pour écoute, évaluation et peut être exequatur.
Alors oui, ça ne se fait pas, mais ici si. Un extrait de ce qui se machine au clair des ampoules de bureau non mixé de nuit....une partie ludique. Tout n'est bien sur pas dans cette veine. Des parties tendues, des solo hypnotiques au sax, des ostinatos, des chansons, événements dissonants, des explorations de bruits, tout ceci essaie de trouver une place. La difficulté est de fixer des sons dont on ne sait ce qu'ils vont provoquer aux ateliers de delphine et daniel préparant le défilé de Culture et Partage. C'en est aussi le charme. Et puis, ces moments sont des occasions. Une aubaine pour tenter des escalades sonores, des équipées de nouvelle voies. Limiter des éléments de constructions (deux saxophones), limiter le temps (cela évite de réfléchir), s'extraire du quotidien (le local des FDH), oser le solo (construire avant et monter les idées plutôt que de capter des sons et de construire en MAO ; chaque chose joué se tient en soi), etc, etc.... cela parait peu important et pourtant. Il existe finalement pas beaucoup de moments consacrés uniquement à la recherche libre. Les actions sont souvent finalisées, corsetées. Ici que nenni. Aucune partition. Aucun groupe. Aucune mise en scène. Pas de sentiments proposés. Uniquement le plaisir et la soif de fabriquer des temps d'émotions à partir de sons.
La mise en utilité de tout ceci se fera sur le plateau avec les choix pragmatiques des sioupherr starzes db et daniel, mais ce qui s'est passé avant est un temps à soi. ouvert.
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