Et voici les (très) belles photos de David Siebert.
"Orphée/Manipulations" en image. La petite forme 2010 (à coté de "Sous Le Jupon" et de "Macao et Cosmage") de La Soupe.
Ambiance des profondeurs, écho d'une expédition entre Le Caravage et John Carpenter.
Jack et Joe se mettent en quête d'une terrible utopie. Par amour. Par destinée. Par espoir.
C'est une quête. Avec son inaccessible étoile, son Graal insaisissable et sa porte des Enfers infranchissable. Tout l'impossible. Mais c'est également une histoire, une plongée, une apnée d'image et de sons inouïs, un tourbillon de perspectives déformées de déchirements. C'est un ailleurs de moitié d'heure. Une percée dans le quotidien de Dieux aux sentences indéchiffrables et ........................... la suspension du temps.
Au milieu de ce maelström, une marionnette. Une minuscule marionnette. Qui se débat, qui lutte, qui gagne sa vie et son lendemain. Une expression de liberté. Un désir infatigable.
On y verra ainsi des projections aux dimensions démesurées, des mélodies immatérielles, des manipulations dansées, des mégaphones arachnéens, une ouverture en forme de loterie de vie et une fermeture aux couleurs tristes d'un air d'opéra, et puis, et puis, des images Sakharoviennes/Sokouroviennes, des réminiscences, des chimères, des rires d'aventure, des frayeurs de train fantôme, des vagues furieuses de larsens, des songes aux fins incertaines.
mais, peut être.
car au final....
Alors. Voici Orphée/Manipulation. Grand huit des émotions. Une petite forme aux grandes allures de La Soupe Cie. A vivre. A savourer. Forcément, forcément.
aa
épitomé punk alternatif.
bon... en gros faut aller récupérer la chouette nana qui s'est emmêlé les pinceaux aux enfers. c'est compliqué parce que c'est pas mal loin et qu'on ne connait pas trop le chemin. alors, aussi, on met tout ça en musique spé (avec vintage SH101 quand même) et on gigote une marionnette un peu comme ça et un peu comme çi. ah ! et puis on projète avec un vidéoprojecteur pas cher des images d'une caméra encore moins chère mais avec option "night" (comme dans les sex tapes). ca donne un truc pas mal mais le public ressort un peu zombie quand même. sans doute le manque d'habitude. à moins que ce ne soit les larsens ?
"Orphée/Manipulations" en image. La petite forme 2010 (à coté de "Sous Le Jupon" et de "Macao et Cosmage") de La Soupe.
Ambiance des profondeurs, écho d'une expédition entre Le Caravage et John Carpenter.
Jack et Joe se mettent en quête d'une terrible utopie. Par amour. Par destinée. Par espoir.
C'est une quête. Avec son inaccessible étoile, son Graal insaisissable et sa porte des Enfers infranchissable. Tout l'impossible. Mais c'est également une histoire, une plongée, une apnée d'image et de sons inouïs, un tourbillon de perspectives déformées de déchirements. C'est un ailleurs de moitié d'heure. Une percée dans le quotidien de Dieux aux sentences indéchiffrables et ........................... la suspension du temps.
Au milieu de ce maelström, une marionnette. Une minuscule marionnette. Qui se débat, qui lutte, qui gagne sa vie et son lendemain. Une expression de liberté. Un désir infatigable.
On y verra ainsi des projections aux dimensions démesurées, des mélodies immatérielles, des manipulations dansées, des mégaphones arachnéens, une ouverture en forme de loterie de vie et une fermeture aux couleurs tristes d'un air d'opéra, et puis, et puis, des images Sakharoviennes/Sokouroviennes, des réminiscences, des chimères, des rires d'aventure, des frayeurs de train fantôme, des vagues furieuses de larsens, des songes aux fins incertaines.
mais, peut être.
car au final....
Alors. Voici Orphée/Manipulation. Grand huit des émotions. Une petite forme aux grandes allures de La Soupe Cie. A vivre. A savourer. Forcément, forcément.
aa
épitomé punk alternatif.
bon... en gros faut aller récupérer la chouette nana qui s'est emmêlé les pinceaux aux enfers. c'est compliqué parce que c'est pas mal loin et qu'on ne connait pas trop le chemin. alors, aussi, on met tout ça en musique spé (avec vintage SH101 quand même) et on gigote une marionnette un peu comme ça et un peu comme çi. ah ! et puis on projète avec un vidéoprojecteur pas cher des images d'une caméra encore moins chère mais avec option "night" (comme dans les sex tapes). ca donne un truc pas mal mais le public ressort un peu zombie quand même. sans doute le manque d'habitude. à moins que ce ne soit les larsens ?
- cinq extraits brulants -
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