
"james chance" ? c'est bien ici (l'album "buy" !) mais rien à voir avec APT ou "ce que je fais assis là par terre". ah non. et pourtant, au détour d'un billet SOUPE, sur le blog SOUPE, pour un spectacle SOUPE, c'est ce qui passe dans les/mes oreilles - un live au bains douches. un funk "harmolodique" (ici pour les sceptiques). les liens du freejazz, du punk, de funk, de l'invention, de l'intégrité.
la pensée s'enfuit.
peut être est ce la dernière ligne droite, notre lost highway juste avant la première d'APT, un trouble impatient.
parlez en à Delphine Bardot - l'unique, yes captain, et la délicatesse d'une exemplaire direction d'acteur et d'une création de création remplis de douceurs - qui va vivre sa première "grande" (dans la durée) mise en scène, ou à Pierre Boespflug, si haut perché dans le décor et qui aura la main mise sur les espaces acoustiques cataclysmiques de cette pièce, ou encore à Alexandre Picard, ce tout nouveau venu dans la SOUPE - une bleusaille certes, mais tellement investit et convaincu, et dense, et ensoleillé - ou à Eric Doménicone, tout en confiance, tout en envie, en persuasion, et tout en tout.
le plateau. le lieu. la boite de conserve théâtrale de tout ce qui à été imaginé.
et puis, et puis, la force d'une construction de "W "(yseult welschinger) qui raconte déjà en soi les profondeurs camouflés d'APT. des marionnettes ouvertes, pleines de propositions et de mondes à gouter.
et encore, encore, parmi les spectateurs-du-noir-de-la-salle-de-la-première, les amis, les amis, les adaptateurs (le si solide benoit fourchard) ou carrément, carrément, la chance et la joie de l'auteur (ce joel egloff, cette pensée, l'horizon, la félicité des mots et des ailleurs à l'origine de tout ce binz incroyable et fantastique), et encore, et encore, les sourires aux beautés inoxydables (babette gatt), les prêt à tout (chris et emilie pericat), les élégances créatives (daniel trento), les amis, les géniales inventeurs d'images (marine drouard), les amis, encore, encore, les oreilles extérieurs, les King Kong de la plaquette et de l'affiche (le studio lilibellule de steph et do), encore, encore....
et oui. tout ce joli monde autour d'un plateau le 16 décembre 2009 pour se laisser emporter par le concentré de trouvailles, de travail, d'intelligence, d'art, d'aventure, de compagnie, d'amours et d'amitiés, d'audaces et, oui, par "ce que je fais assis là par terre".
aa
la pensée s'enfuit.
peut être est ce la dernière ligne droite, notre lost highway juste avant la première d'APT, un trouble impatient.
parlez en à Delphine Bardot - l'unique, yes captain, et la délicatesse d'une exemplaire direction d'acteur et d'une création de création remplis de douceurs - qui va vivre sa première "grande" (dans la durée) mise en scène, ou à Pierre Boespflug, si haut perché dans le décor et qui aura la main mise sur les espaces acoustiques cataclysmiques de cette pièce, ou encore à Alexandre Picard, ce tout nouveau venu dans la SOUPE - une bleusaille certes, mais tellement investit et convaincu, et dense, et ensoleillé - ou à Eric Doménicone, tout en confiance, tout en envie, en persuasion, et tout en tout.
le plateau. le lieu. la boite de conserve théâtrale de tout ce qui à été imaginé.
et puis, et puis, la force d'une construction de "W "(yseult welschinger) qui raconte déjà en soi les profondeurs camouflés d'APT. des marionnettes ouvertes, pleines de propositions et de mondes à gouter.
et encore, encore, parmi les spectateurs-du-noir-de-la-salle-de-la-première, les amis, les amis, les adaptateurs (le si solide benoit fourchard) ou carrément, carrément, la chance et la joie de l'auteur (ce joel egloff, cette pensée, l'horizon, la félicité des mots et des ailleurs à l'origine de tout ce binz incroyable et fantastique), et encore, et encore, les sourires aux beautés inoxydables (babette gatt), les prêt à tout (chris et emilie pericat), les élégances créatives (daniel trento), les amis, les géniales inventeurs d'images (marine drouard), les amis, encore, encore, les oreilles extérieurs, les King Kong de la plaquette et de l'affiche (le studio lilibellule de steph et do), encore, encore....
et oui. tout ce joli monde autour d'un plateau le 16 décembre 2009 pour se laisser emporter par le concentré de trouvailles, de travail, d'intelligence, d'art, d'aventure, de compagnie, d'amours et d'amitiés, d'audaces et, oui, par "ce que je fais assis là par terre".
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