lundi 31 mai 2010

sexe, vérité (82%) et chanson. Tous open (non, c'est pas du tennis).



Une semaine de sexe (enfin presque). La Soupe se paie le stage tantrique de la semaine pour se sentir à l'aise dans ses baskets ce WE. Une semaine au TGP, lieu interlope bien connu, l'enfer des mœurs, le grand paradis des plaisirs.
Une semaine à mettre en bouche (...) les chansons de Benoit Fourchard - sacré gaillard paillard. Chansons mutines, textes coquins et gros (les big ones) ...
mots, carrément X - oui, oui. Le X type 70' sans fard et avec plein de saxo alto en fond sonore.
"Union" en mémoire, l'esprit libre, musardant la Musardine, vraie rencontre du troisième type - bref, un joli bricolage. Joie à tous les étages et Gamahuchage (G majuscule obligé) forever !

Résultat ici même, sur ce blog, en fin de semaine, sans aucun doute.

You don't have to put on the red light ! Ah bon ?? Oh ben quand même ! Allumes les sensations la belle, relance la machine mon gars, light my fire, light my fire ! Come on baby !

aa


clic, my friend, clic

- - - -

Les nuits d'une demoiselle

par Colette Renard

Que c'est bon d'être demoiselle
Car le soir dans mon petit lit
Quand l'étoile Vénus étincelle
Quand doucement tombe la nuit

Je me fais sucer la friandise
Je me fais caresser le gardon
Je me fais empeser la chemise
Je me fais picorer le bonbon

Je me fais frotter la péninsule
Je me fais béliner le joyau
Je me fais remplir le vestibule
Je me fais ramoner l'abricot

Je me fais farcir la mottelette
Je me fais couvrir le rigondonne
Je me fais gonfler la mouflette
Je me fais donner le picotin

Je me fais laminer l'écrevisse
Je me fais foyer le cœur fendu
Je me fais tailler la pelisse
Je me fais planter le mont velu

Je me fais briquer le casse-noisettes
Je me fais mamourer le bibelot
Je me fais sabrer la sucette
Je me fais reluire le berlingot

Je me fais gauler la mignardise
Je me fais rafraîchir le tison
Je me fais grossir la cerise
Je me fais nourrir le hérisson

Je me fais chevaucher la chosette
je me fais chatouiller le bijou
Je me fais bricoler la cliquette
Je me fais gâter le matou

Et vous me demanderez peut-être
Ce que je fais le jour durant
Oh! cela tient en peu de lettres
Le jour , je baise, tout simplement

léger clin d'oeil....





"Orphée - Manipulation" de la Soupe Compagnie

aa

Save our souls.


Pas de wifi, pas de réseau, pas de connexion, sans liens, sans attache, sans bouée, SOS, c'est pas possible, quand ça arrive c'est triste, au secours, mais que faire de rien, comment survivre sans rien, le monde à l'eau pour rien, le radeau médusé, la perdition confirmé, l'abandon, sans réseau fixe, pas d'3G de G+ (reste le Super G, mais c'est tout autre chose). Aie. Que faire ? Sans fil d'Ariane orangée, le fruit des pensées en vol plané. Out of Order.

(è'!è!è!è!èt87996o!èç!èè§(,f !!! Un tunnel, un tunnel !

C'est pas tenable. Où va t'on ? Même P.Virilio il sait pas. C'est dingue. L'esprit libre ça divague. Sans réseau il ne reste que le monde qui vous entoure. Ben mince. Ca fait tout drôle. Relocaliser sa position. Se retrouver là où l'on est. Ni plus, ni moins. L'ubiquité en drapeau, l'œil qui redémarre, la pensée qui se refait une beauté. Tout change quand plus rien de ce qui change vous change ! Paradoxe.

Un peu d iPhone tout de même. Ouf. Jusqu'au bout.

aa

samedi 29 mai 2010

outre réel


Le temps de penser, et le monde à déjà changé. Avec ou sans vous. C'est rapide, indolore, mais un jour on se réveille un peu dans le caniveau. In ou Out.
Alors... il faut oser et voir de l'autre coté ce qu'il se passe. On sait jamais. Tenter la vie parallèle pour voir, et pour aussi se dire qu'on est entier. Contradictoire de penser le temps multi-facettes tout en vivant son temps unicellulaire. Mais c'est l'époque. Être ici et la bas, ubiquité des sentiments.

Pragmatique, quand on y pense, appartenir à plusieurs Mondes c'est une chance. Une Cie comme la Soupe (c'est un exemple) ne fonctionne pas en troupe mais en rencontre. Tous participent à d'autres expériences, à d'autres tendances esthétiques et parfois même à rien de théâtrale. C'est un signe, c'est une manière de faire qui propose à chacun d'être le tout en restant bien soi. Avec le mélange comme carburant et le supplément d'âme collectif comme comburant. Car le résultat de ce melting-pot, c'est tout de même d'être plus que ce que l'on est.

Anti-libérale, La Soupe (c'est toujours un exemple) ne prône pas la somme des intérêts comme horizon commun, mais la synergie des volontés, la provocation à l'élévation par la mise en confrontation, l'abandon de la compétition comme moteur de désirs, et la soif du sentiment que nous sommes soi et que nous sommes tous.
C'est à l'opposé du chacun pour soi, des uns contre les autres, des winners.

Au final, sans ambition de fondre les idées dans un même moule, La Soupe Cie (c'est encore un exemple) se révèle un esprit, un paysage de création qui ressemble à une communauté de désirs différents, opposés parfois, confrontés, discutés... mais toujours rassemblés.

Hasta la vida, Baby !
aa


vendredi 28 mai 2010

hop hop hop ! Sous le Jupon !



Ben et db sont dans un bateau (pardon, un Mercedez-Benz). db joue, que fait Ben ?

"...Il conduit, il discute, il soutient, il environne, il protège, il conduit, il démonte, il boit un coup, il lit un peu, il conduit, il regarde l'extérieur, il pense à demain, il conduit, il se sent bien, il cause un peu, il regarde la belle lune rousse, il jette un œil sur la belle Russe, il imagine ce que serait le monde sans théâtre, il pense à sa prochaine nouvelle, il l'écrit peut être déjà aussi, il songe a Coco et à Louna - comme tout le temps, il lit Libé, il pense à une vie sans retraite, il regarde la longue route, poor lonesome driver, l'air est chaud, il fait soif, il boirait bien un coca mais bon, ah, tiens un café à l'Autogrill, why not, il est temps de repartir, c'est long, c'est loin, db elle, elle dort à coté, elle dort, et la route qui continue, ca serpente un peu mais ca va, faut pas exagérer, il est temps d'arriver, c'est où déjà Sapertruc, Saperlipopeite, Saperzut, Sa-, enfin le festival, "La Chapelle sur Erdre/ 44" dit Catherine qui habite le GPS (ca doit pas être facile), ah tiens va falloir garer le truck, pas facile non plus, s'agit pas de rayer la carrosserie, c'est vrai, une voiture, my car, mon truc, ok c'est pas grand chose mais quand même, déjà que sans retraite, bon, ah voilà c'est ici, 44, réveiller la princesse, celle qui dort, c'est vrai çà, deux poids deux mesures, la soute et le pont des luxes, chacun son style on dirait, pas grave, Sous le Jupon c'est hyper chouette, ça remue le body, move your body, han han, et hop les larges sourires, tout le monde aime, normal, Sous le Jupon, c'est unique, un truc de derrière les fagots si j'ose dire, une embrassade en cachette derrière l'Eglise, vieux souvenir, chacun son style, chacun son style, ca change pas mon probleme, pas de reseaux, et le wifi, il y a ?, c'est l'option de survie, le wifi, c'est ma bouée, ma légitime, ah un coup de fil et hop les mauvais nuages vont s'évanouir, et db, elle s'installe ?, ce que c'est bien Sous le Jupon, c'est doux, c'est chaud, c'est sacrément reposant finalement, un bercail, une nuit de nuisette, un souffle chaud, une tendresse, Sous le Jupon, ca me fait penser à un bouquet de fleur, si si, et elle joue bien db, vraiment, avec ironie, avec le savoir des donzelles qui plaisent comme ca, elle joue un peu de soi, un peu avec les autres, mais c'est léger, un vol plané, une brise d'air frais...."



Et db ? Hein ? Et db ? Si Ben est tombé du Mercedez-Benz, elle fait quoi db ?
Elle joue. A Saperlipuppet. A 20h. Ils ont même un Facebook.

Mais ATTENTION !
C'est no way for <18 !
aa







ps : évidemment, tout est fictif, pour les besoins du billet et de l'exercice de style. Ben et db en tournée, c'est l'équipe de choc !! Une affaire qui roule, le bonheur des spectacles et des amis.



On se tire ?


Filer à l'anglaise. s'évader. C'est tentant. C'est un peu le jeu. "Green Explorer". Tout un programme pour un chemin au long court. Et au final, pour aller où ?

Qu'importe ! L'important se planque dans le mouvement.
Le processus de création suit aussi ce chemin. Le résultat compte moins que le faire. La recherche est là. Et parfois, le résultat donne rendez vous à une vérité, à une beauté. Ça arrive. Mais... si cela n'arrive pas, ce n'est pas si grave si dans ce mouvement de faire réside l'authenticité des vrais bouleversements.

MAIS OU EST DONC ORNICAR ?

L'improvisation ne supporte pas l'improvisation mais se sert du tâtonnement, de l'erreur, du loupé comme d'une belle proposition de l'instant et de l'endroit. Ce sont là de nouvelles pistes de jeux, de nouvelles frontières à aller chercher. A condition d'être disponible à l'événement, au possible, à l'inconnu.
Être disponible. Au départ. Aux demains. A l'incroyable,. A la secousse, au saisissement ; au merveilleux.

Alors voilà.
Partir... rêver... créer, oui, mais en étant entièrement ici et totalement là. Paradoxe des explorations artistiques et des expérimentations inouïes. Quelle bizarrerie les départs.

"Green Explorer".
Sibyllin le billet ? et "Green Explorer" alors ? c'est pas sibyllin ça comme proposition d'évasion ? Cargo de nuit...

Trente-cinq jours sans voir la terre
Pull rayé, mal rasé
On vient de débarquer (cargo de suie)
Trente-cinq jours de galère
Et deux nuits pour se vider
(la nuit, te suis, change de port, cargo de nuit)
J'avance sur ce quai humide
La sueur brûle comme l'acide
L'enfer va commencer (cargo de nuit)
Bière chaude et narguilé
Chez Mario, tout oublier (la nuit te nuit, change de port)

Mais cette machine dans ma tête
Machine sourde et tempête
Mais cette machine dans ma tête
Leitmotiv, nuit secrète
Tatoue mon âme à mon dégoût
(Cargo de nuit)
Lanterne rouge : je guette l'entrée
L'alcool est mon allié
L'amour, il faut payer (cargo d'ennui)
Virée grasse, elle m'entraîne
Vers l'angoisse et la rengaine
(la nuit, d'ennui, change de port)
Da da da daya da da da daya...

{instrumental}

Mais cette machine dans ma tête
Machine sourde et tempête
Mais cette machine dans ma tête
Leitmotiv, nuit secrète
Tatoue mon âme à mon dégoût
J'ai voulu tout chaviré
Mon espoir s'est échoué
J'en ai marre de ramer
La détresse polluée
L'océan de mes pensées
Et cette machine dans ma tête
Machine sourde et tempête
Et cette machine dans ma tête
Leitmotiv, nuit secrète
Tatoue mon âme à mon dégoût
Da da da daya da da da daya...
(cargo de nuit, la nuit, cargo de nuit...)

aa


jeudi 27 mai 2010

l'amour de l'art / l'art de l'amour


L'amour de l'Art et l'art de l'Amour. Il faut bien y croire pour se lancer à l'assaut des désirs. Inventer comme on donne, chercher comme une quête, courir auprès de ses plaisirs comme vers un oasis, tenter le dépeçage de la passion, le tourbillon des sens, et le dérèglement de la raison.
L'amour de l'Art c'est se jeter dans les mers des curiosités. Pas de limite, pas de contrôle. Perte et retrouvailles permanentes. L'art de l'Amour c'est se jeter dans les océans de raretés, soifs des envies, incongruité des cocktails. Shake baby, shake ! Une manière de vivre, une manière de coudoyer. Un soi, un autre ; mirage aux alouettes, un télescopage de pensée, une collision des corps.
L'art et la manière, chacun son style, chacun son idée, c'est tranquille. Et puis aussi, souvent, au fond des choses, la tourmente des Arts, le vertige des poursuites. Chercher l'art où il n'est pas, tenter le rapprochement où il ne peut être, c'est ouvrir la boite, de Pandore pourquoi pas, mais des ivresses certainement, des exaltations surement. La vibration du mot que l'on a sur la langue, cette fébrilité du transport, ces instants ou tout est emporté.
L'Art de l'Amour. Un certain regard, une simple sensation et pourtant une audace. Comme l'Art tout court, comme ce temps où tout est soi quand on n'est plus rien. En devenir, en construction, en révolution. Il faut du temps pour s'apercevoir dans la pénombre, il faut des yeux de chats et une féroce envie de voir. Saisir l'Art, c'est attraper un mirage.

Alors voilà. l'art de l'Amour ou l'amour de l'Art, nous ne somme pas si loin du compte. En Amériques, en "Terre ! Terre ! Terre !". Enfin... pour ce qu'on croit.


Mais entrez ! Vous verrez bien....
aa



mardi 25 mai 2010

tendrement à l'abandon.


Bien, bien, bien. Mais que font ils, que se passe t'il à Vitry. Quid des Odysées de La Soupe chez Jacques Boura ?
Les uns à Brest les autres (Huns ?) en reste, c'est une dispersion, une atomisation de Cie. Normal. Rien que du banal.
Des équipes en goguette, mélange de genres, parfois ceux ci, parfois ceux là, c'est le lot d'une compagnie que de savoir changer les couleurs, tenter les mariages, oser les alliages.
Blondes, bruns, brunes, la boule à zéro ou entre deux, les équipes de la Soupe se font la malle de plein de manière. Une variété, un pluriel d'esprit, un éventail de styles.
Mais pendant que X Y Z sont avec A B C, que font les D E F ? Ils regardent par le trou de la lorgnette, sans doute. Un passage sur le blog, comme tout un chacun, pour surfer sur la vie des autres, pour se faire une idée des ailleurs.

Finalement, ce blog, c'est une plaque tournante. Le lieu du trafic en tout genre. Proposition de fédération et d'histoire commune, un blog pour tous et un blog pour nous.
La Soupe c'est aussi là, c'est aussi çà. D'une confluence, voilà qu'elle se grandit d'une dissémination. Un état de pensée de ce que l'on peut mêler. Un endroit sans secret mais où le non-dit compte autant que l'écrit. Ce billet, par exemple. Une tentative de pont entre ceux là et ceux çi, un exercice de style pour ne rien dire aussi, mais quand même une bouteille à la mer de ceux çi vers ceux là.
aa



lundi 24 mai 2010

APT


YouTube Video

Est en plein raccord avant les représentations de Vitry. Je crois.

aa

dimanche 23 mai 2010

samedi 22 mai 2010

allo allo aaaallo.....


Fun. Fun, fun, fun ? Da Da Da. Que fait La Soupe ? Ou est elle ? C'est vrai, peu de nouvelles. Depuis l'île, depuis Ifs, depuis pas longtemps, on se demande, on se questionne, c'est pas une vie, c'est une nuit. La Soupe Cie est en transit. C'est un atterrissage, une préparation pour demain, une translation.

Les uns à Montbéliard avec les autres, les autres à Kolbsheim avec les uns. C'est une dispersion, un puzzle, va falloir sonner le rassemblement, alerter les autorité, manier du tocsin.

Que fait la Soupe ? Dead or Alive et alive de préférence. Forever young, des projets en tête, des paris pour demain mais encore, mais encore, mais encore....
Ça arrive, c'est banal, c'est de temps en temps. Rien à dire, rien à voir, circulez c'est pas pour vos esgourdes. Ben quoi, ben qui, mais bon sang, La Soupe, elle est où ?





Bien sur, bien sur, APT est à Vitry-le-François (la Salamandre) les 25 et 26 mai, encore, voilà, mais quand même, même si, "Sous le Jupon" est au festival Saperlipupett les 28 29 mai, et, ah, "Derrière la porte" au TGP en juin (1 et 2 et 3 et...), alors quoi, c'est vrai, jour aprés jour, ok, okay, mais encore, c'est facile mais la vie, le quotidien, demain et aprés demain, on se demande, elle est où La Soupe, elle fait quoi, au fond, dans ses pensées, dans ses envies, dans tout ce qui fait d'elle une idée rêvée ?

Vivement le prochain épisode !
aa


vendredi 21 mai 2010

Ah ! C'était Sous le Jupon. A Géo Condé.









Sous le Jupon à Géo Condé.
- by Daniel Eugé.

aa

jeudi 20 mai 2010

Ifs you can, Ifs you like

La jeune génération, la marmaille, les avenirs pas encore finis, libres d'esprit et frais comme des gardons, les lendemains du désordre, la créativité en route, les filous, la révolte ante-ados, les hurleurs, le sourire de la grâce, l'escalade de la personnalité, l'hommage à 6 millions d'années, Lucy in the sky et eux assis devant "Derrière la porte" !

C'est pas banal, qui sait ce qu'ils seront après demain. Hell's Angels ou chirurgien-dentiste. Tout le possible devant un spectacle à deux donzelles.



Vas-y, crie petit... db et W s'occupent des marmots.

Un trip under eighteen. C'est à Ifs. C'est du jeune public, c'est tôt le matin, ça demande du maquillage lourd, de la vraie préparation caféinée. C'est "Derrière la porte".
Aucune idée de comment ça fait. Si tôt, au levé, face à l'énergie explosive, amorphe de Morphée devant les dragster Full of Vitamines. Sans préliminaires. Boum, les voici les voilà, à fond les gamelles. Si DLP marche pas devant leur jugement instantané, c'est l'apocalypse assurée. Ça part illico en vrille. 120db (on en a déjà une...) dans ta face. Aucune marge, aucune échappatoire. De la démocratie direct. Un référendum ici et maintenant.

W/db se dépensent à tenir la barre. Héroïnes des 8 du mat', capitaines des aurores qui claquent.

aa


Espace Jean Vilar – Ifs (14) (9 représentations)
Le 19 mai à 11h00, 15h00 et 18h30. Le 20 mai à 9h00, 10h30 et 15h15. Le 21 mai à 9h00, 10h30 et 15h15

la mort à petit feu de "l'équipe A"



Ras le bol des poissons.
aa (équipe "A" - selon la terminologie discriminatoire de db dans le billet précédent).

lundi 17 mai 2010

Namur sous le Jupon!!!


Pendant que l'équipe A (cf les 2647 pages précédentes du blog...!!!) se la raconte "long courrier" pour au bout du compte rester en France (pffff..!!), l'équipe B, la Be Fifteen Forever, trace la route, traverse les frontières et exporte franchement les souperies avec Sous le Jupon à Namur en Mai.


Une équipe B toute exclusive puisque la belle bretonne du 57 , la seule , la vraie, la working girl du CG, la Gwen nous fait l'honneur de consacrer sa RTT à gonfler nos rangs....biens affaiblis par la délocalisation temporaire de la Compagnie dans les îles !!!!


French Cancan au programme pour lever la jambe à Namur entre vieilles comparses!!!
C'est beau l'ouverture des frontières....


Ambiance bucolique au réveil avec nos amis les ruminants et la toile de Jouy sur les rideaux...


Le ton est donné.

No comment


Et c'est parti pour 13 divinations à l'école des pauvres.
Jupon's Team en action:


Super G sur tous les fronts de l'ombre...
Superdiff !

Superlight !

Avec intermède country entre les représ...
(les photos de Gwenaëlle jouant du banjo et du string ont été censurées pour des raisons de crédibilité professionnelles évidentes...)

Enflammandes flamandes!


Et LA rencontre du festival : les Goulus!
The real French Attitud.
La grande classe !

Les véritables Horsemen en chair et en poils !!!(dont les photos en jeu ont été également censurées pour des raisons de concurrence évidentes, espionnage industriel et tout le bazar...)

Les nouveaux meilleurs amis de La Soupe!
Membres officiels du Be Fifteen Crew, associés aux équipes B!

Boris, Philippe.

Avec passage obligé sous le jupon pour fêter ça!

Et Barbe Bleu avec tant qu'on y est!

Qu'importe le soleil, ça fait chaud les balades en festival!

Remerciements particuliers à C.S pour nous avoir prêté G.P.
db


Surprise !





"Derrière la porte" joue à Ifs.
Espace Jean Vilar – Ifs (14) (9 représentations)
Le 19 mai à 11h00, 15h00 et 18h30. Le 20 mai à 9h00, 10h30 et 15h15. Le 21 mai à 9h00, 10h30 et 15h15



Et alors ? Et alors ils font même des cabas ! La vie est Rock'n roll !
aa


The end





Et voilà... le périple Réunionnais de La Soupe est fini. Macao et Orphée terminent dans du papier bulle et les SoupeMen et les SoupeGirls avec des souvenirs. Et oui, ah ben oui. On s'en rappellera de ce Leu Tempo !
Rendez vous certainement aux Comores, en Australie, à Tokyo, à Tahiti ou que sais je.


Guili Guili, oui ; Pouet Pouet...non ! (dernier private joke en pensant aux Slips Inside).
aa














Et pour notre souvenir en son... Granmoun Lélé ou Waro, le Maloya....


Granmoun Lélé ? C'est lui.

aa